Publié le : 04 octobre 20132 mins de lecture
Ma louve,
Quelle étrange aventure tout ces piétinements, je t’ai trouvé, unis pour l’éternité, uni vers celui qui verse ma vie à l’envie.
Viens plus près, je t’en prie, tu es ma source d’énergie, avec toi mon arc en ciel a une huitième couleur, comment marcher sans tes pas dans les miens ?
Chaque nuit j’écoute sur les toits si demain c’est nos mains chaudes sur nos corps alanguis.
Je t’aime un peu, beaucoup, passionnément à la folie, je t’aime comme les confettis.
Mon amour, je m’installe dans ton coeur, les perles de la nuit nous conduisent à demain, il fait noir, on est ou ?
Tu es ma friandise toi qui entra en douceur dans ma tête. Qu’il est difficile de conjuguer le verbe aimer …
Sais-tu que tu me fais exploser en milles éclats ?
Je veux, Je veux, avec toi, courir sous la pluie pendant des heures et des heures.
J’ai soif de toi , nous ne vivons l’un sans l’autre.
A quoi bon une bouche qui ne se nourrit plus de tes baisers ?
Je caresse tes joues faites pour mes baisers tant j’ai rêvé à tes lèvres purpurines
Rappelle-toi ce moment ou rien n’est encore perdu, où toute espérance enivre.
Sais-tu que jamais le ciel n’est d’un tel azur que lorsque ton regard passe ma porte pour venir ?
Je pense à toi, Je te donne ce tas de tendresse, d’ivresse, de délires amoureux roucoulés pour en faire les couleurs de ton odeur.
Que mes baisers soient porteurs de ton regard posé sur moi au premier jour.
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